Et comme j’ai l’habitude de la page blanche pendant mon café, ben forcément, j’écris ici. Je voulais remercier ceux qui ont écrit des commentaires hier, ça me fait plaisir. Je mets un point ici car la suite serait un peu compliquée à expliquer et vous direz que je ne suis jamais contente (ça fait au moins trois fois que j’efface la deuxième partie de la phrase – oué, pas trop spontanée mon entrée aujourd’hui), mais en substance ça se résume à ce que j’ai déjà écrit hier – moi aussi je lis beaucoup de journaux et je ne mets des commentaires que très rarement, donc je comprends que les autres ne le fassent pas non plus.
Enfin c’est pas ça le sujet. Et le sujet ne sera pas non plus aujourd’hui « coiffure et diarisme » (ça fait un bail que je ne suis pas allée chez le coiffeur, ma coupe laisse à désirer, mon balayage n’en est plus un, de toute ça devrait changer, ce sera autre chose mais on en parlera le moment venu, sauf que je ne sais pas trop quand il sera venu, ce moment).
Alors le sujet sera… Pfffff, j’en sais rien, héhé. Je sais que j’ai oublié d’écrire hier, en énumérant les raisons pour lesquelles je ne renoncerai pas au diarisme, que je ne veux pas être virée de la RDJ comme moule. Et cela suscite une réflexion au sujet des départs, où certains membres insistent lourdement non seulement sur le fait d’arrêter d’écrire, mais demandent aussi d’être virés des bases de données. Je n’arrive pas à comprendre ça. C’est un peu comme une personne au régime qui évite même de voir un gâteau à la crème, de peur de succomber à la tentation. Si tu n’as plus envie de venir écrire sur le forum, ben ne le fais pas, mais pourquoi insister tellement à se faire supprimer de la liste des membres? Moi ça m’attriste quelque part et je n’arrive vraiment pas à comprendre. Si ça se trouve, un jour tu voudras écrire quelque chose, et le salon invités n’existera plus (en disant « tu », je ne nomme personne car il y a en ce moment deux personnes (au moins, et peut- être même quatre) qui quittent et veulent se faire virer. Si je parle de tout ça, c’est que j’aimerais comprendre ces mesures radicales – si je ne suis plus là, alors je ne le suis plus du tout!)
Enfin bref… Ça doit être ça la jeunesse. Comme c’était il y a longtemps pour moi, j’ai oublié. Là justement je viens de m’en prendre plein la gueule parce que je voulais être gentille. Et j’ai ravalé un commentaire acerbe, et je ne sais pas si ça me rassure de me rendre compte que côté susceptibilité, il y a bien pire que moi, et comment!
Eh ben voilà ! Ça fait plus de deux heures que je suis réveillée, midi approche, je suis encore là à pianoter, à surfer un peu ailleurs aussi, et ça risque de durer encore un moment tout ça! Ben tant pis, j’ai bien le droit de glander un peu, pour changer, vous croyez pas?
Sinon la vie est belle. Par moments. Mais des fois, j’aimerais bien en être virée, histoire de me reposer un peu. Mais pour mieux revenir, hein!
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